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Publié le : 14/05/2009 08:57:04
Mise à jour le : 13/05/2009 09:34:31
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Yahoo!, SAP ou RIM : qui va tomber dans l'escarcelle de Microsoft ?


Le géant du logiciel s'apprête-t-il à faire une méga-acquisition ?

La première émission obligataire de toute l'histoire de l'éditeur suscite bien des spéculations.
Pour la première fois de son histoire, Microsoft s'apprête à emprunter au marché 3,75 milliards de dollars sous forme d'obligations. Dans le détail, cette émission d'obligations se décompose en trois parties : une tranche de deux milliards de dollars à cinq ans à un taux annuel de 2,95 %, une autre de un milliard de dollars d'obligations à dix ans à un taux de 4,20 % et une troisième de 750 millions de dollars à trente ans à un taux de 5,20 %.

L'opération a de quoi surprendre lorsque l'on sait que la firme de Redmond dispose d'environ 25 milliards de liquidités. Et forcément, celle-ci ne manque pas d'alimenter les rumeurs autour d'une acquisition d'envergure.

Après l'échec de sa première offre d'une valeur de 47,5 milliards de dollars l'an passé, le groupe de Steve Ballmer va-t-il repartir à l'assaut de Yahoo! ?

L'allemand SAP, fragilisé par des résultats en forte baisse et par un Oracle encore plus menaçant depuis le rachat de Sun, va-t-il tomber entre les mains du numéro un mondial des logiciels ?

Une autre rumeur fait état d'un intérêt pour le constructeur canadien de terminaux Blackberry RIM. Quoi qu'il en soit, la récente reprise de Sun par Oracle a prouvé que les méga-acquisitions étaient encore d'actualité malgré la crise...
Aucun commentaire de la part de Microsoft
De son côté, l'éditeur dément toute volonté de croissance externe : « Je n'ai rien à dire au sujet de rumeurs d'acquisition (...) Celle-ci est une rumeur comme une autre », a indiqué Steve Ballmer lors d'une conférence de presse en Inde.

Selon Microsoft, les sommes levées doivent servir « aux besoins généraux » de l'entreprise. Celle-ci veut également tirer parti de bonnes conditions d'emprunt, puisqu'elle est la seule entreprise à avoir reçu la meilleure note (AAA) de l'agence de notation de crédit Standard & Poor's, en dix ans.

Lors de la même conférence de presse, le patron de Microsoft a par ailleurs indiqué qu'il n'excluait pas de procéder à des suppressions d'emplois supplémentaires si la situation économique empirait encore aux Etats-Unis. Le groupe avait dévoilé en janvier dernier un plan de restructuration portant sur 5 000 suppressions d'emplois dans le monde mais aucun en France. (Source 01 Net)